Il me semble que le mot « avant-garde » a toujours été pour moi une espèce de souvenir. J’ai dû l’entendre autour de 1960, alors que le surréalisme ne se portait déjà plus très bien. Presque en même temps je découvrais Bataille et Artaud, que n’accompagnait aucune étiquette d’avant-garde. Mais c’est l’ensemble du climat de pensée qui se modifiait de manière profonde dans les après-coups de la guerre.
Les avant-gardes – ou du moins ce nom : il ne s’agit que de son usage – ont eu d’emblée pour moi un goût de passé. D’arrière-garde, en somme. Je ne plaisante pas : je pense que le soupçon porté sur la nature militaire de la métaphore était déjà présent dans le contexte où je découvrais le mot. Pourquoi fallait-il que l’art opère comme une armée ? Il y avait un doute. Ce n’était pas tant l’idée de la lutte ou du combat qui était préoccupante...
Elisabeth Bronfen (Hg.), Christiane Frey (Hg.), David Martyn (Hg.)
Noch einmal anders
Ob Archimedes im 3. Jh. vor unserer Zeitrechnung die römische Flotte vor Syrakus tatsächlich mit Hilfe von Hohlspiegeln in Brand steckte, gilt unter Philologen, Experimental-Archäologen und anderen Experten für Archaisches und Arkanes als äußerst umstritten. Zu lange die Zeit, in der die Schiffe unbeweglich ein Ziel hätten abgeben müssen. Da aber eine der erste Beschreibungen der antiken Laser von Lukian von Samosata stammt, kommen auch andere Möglichkeiten, anstelle der normalerweise zur Schmälerung von Archmides’ Genie ins Feld geführten Übersetzungsfehler, für die Legendenbildung in Frage. Lukian war nicht nur ein ausgezeichneter Satyriker, er kann vielleicht auch als Erfinder der Science-Fiction gelten, so zumindest sehen ihn hunderte Jahre später Erasmus von Rotterdam und Thomas Morus, die gemeinsam einige seiner Schriften herausgeben (luciani opuscula, 1506).
Lukian von Samosata war ausgebildeter Künstler – so behaupten es seine wenigen Biografen – und sehr an ästhetischen Fragen interessiert. Ihm war also das gefährliche Potential einer konkaven Spiegelfläche...
Etrange extraneus du dehors pas du dedans (intraneus) pas de la maison unheimlich pas du heim pas du foyer de l’autre côté des portes – fores, foreigner pas dans le rythme en trop, odd pas régulier pas ordinaire rare singulier seltsam bizarre besherat vaillant élégant fantasque tordu verschroben de travers surprenant extraordinaire étonnant
C’est étonnant comme nous sommes riches en mots formes façons pour tourner autour de l’étrange étranger de l’ausländer hors du pays pas « pays avec nous » comme on disait jadis en France « c’est un pays à moi » pour dire quelqu’un de mon village de mon coin ma province mon bled
Riches à profusion pour tout ce qui n’est pas proche et propre, approprié, convenant, mitmenschlich ce qui ne fait pas mitdasein
Parce qu’on présuppose que mit avec with est consistant, plein, solide et solidaire et ce qui est without avecsans mitohne avec hors ou hors d’avec la proximité
Mais avec même proche exige...
A for Anomie
The idea that terrorism and other forms of political violence are directly related to strains caused by strongly held grievances has been one of the most common explanations to date and can be traced to a diverse set of theoretical concepts including relative deprivation, social disorganization, breakdown, tension, and anomie. Merton (1938) identifies anomie as a cultural condition of frustration, in which values regarding goals and how to achieve them conflict with limitations on the means of achievement.
Gary LaFree and Laura Dugan, “Research on Terrorism and Countering Terrorism”, Crime and Justice, Vol. 38, No. 1, 2009.
B for Block or Blocked
If terrorism in each of its expressions can be considered an indicator of the existence of a political block (of an impossibility of reacting if one wishes to react differently), this influences its real ability to modify the situation. Terrorism has been historically more successful when it was not...